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Notice d'autorité

Papineau, Joseph-Arthur, prêtre (1875-1970)

Joseph-Arthur Papineau , fils de Luc Papineau et de Marie Morin, est né le 8 février 1875 à Saint-Jean-sur-le-Richelieu. Son père, Luc Papineau exerce la profession de commerçant. Joseph-Arthur Papineau, fait partie d'une famille de 15 enfants. Il fait ses études classiques et théologiques puis enseigne au Séminaire de Sainte-Thérèse de 1888 à 1911. Il est également directeur de ce Collège de 1900 à 1912. Le 29 juin 1900, il est ordonné prêtre par Mgr Bruchési à Sainte-Thérèse. En 1911, Joseph-Arthur Papineau fonde le Collège de Saint-Jean et y occupe le poste de directeur jusqu'en 1928. Entre temps, il est nommé, en 1916, chanoine honoraire de la basilique Saint-Jacques de Montréal et fait des études, au niveau de la maîtrise à l'Université Laval, qu'il termine en 1923. Le 15 juin 1928, il est nommé évêque de Joliette et sacré le 24 août suivant par Mgr Georges Gauthier à Joliette. En 1937, il est nommé chanoine honoraire de Saint-Jean de Québec. En 1950, il termine des études doctorales à l'Université de Montréal. La même année, il devient Comte romain et assistant au trône pontifical. Il abandonne la direction du diocèse en 1962 et son titre d'évêque en 1968. Par la suite, il est nommé évêque de Simittu. Joseph-Arthur Papineau décède à l'évêché de Joliette, le 15 février 1970, à l'âge de 95 ans et 7 jours. Il est inhumé dans la crypte de la cathédrale de Joliette.

Lesage, Samuel, prêtre (1914-1994)

Samuel Lesage, fils de Lionel Lesage et de Bernadette Daigneault, est né le 07 avril 1914 à Saint-Esprit. Samuel Lesage n'est pas fils unique, nous savons qu'il a au moins un frère. Samuel Lesage fait ses études classiques au Séminaire de Joliette de 1929 à 1935. Il réalise ses études théologiques au Grand- Séminaire de Montréal de 1935 à 1940. Le 16 juin 1940, il est ordonné prêtre au Séminaire de Joliette par Mgr Joseph-Arthur Papineau. Samuel Lesage exerce la profession d'enseignant au Séminaire de Joliette de 1940 à 1944. Par la suite, il effectue des études spécialisées en lettres et pédagogie de 1945 à 1947 et en pédagogie catéchistique en 1948-1949. Suite à ces études, il revint enseigner au Séminaire de Joliette jusqu'en 1954. Par la suite, il devient professeur à l=École Normale secondaire de Montréal et cela jusqu'en 1958. De 1958 à 1968, il occupe le poste de principal à l'école Normale de Joliette. Suite à cette fonction, il devient le curé de la paroisse Saint-Pierre de Joliette. À partir de 1972, il exerce également la profession d' aumônier pour la Congrégation Notre-Dame et la Providence Saint-Joseph. En 1981, il prend sa retraite à l'Évêché de Joliette puis de 1990 à sa mort, il réside au Centre d'Accueil St-Eusèbe. Il décède à Joliette, le 13 janvier 1994, à l'âge de 79 ans et est également inhumé dans cette ville.

Joseph-Alexis-Norbert Ferland, (1874-1972)

Joseph-Alexis-Norbert Ferland, fils d'Alexandre Ferland et de Rachel Beaugrand-Champagne, est né le 27 octobre 1874 à Sainte-Élisabeth. Son père Alexandre exerce la profession de menuisier. Joseph Alexis Norbert a trois frères qui se nomment Appolinaire, Adélard et Roméo. Il fait ses études primaires à Sainte-Élisabeth. Il effectue ses études classiques au Collège de Joliette de 1888 à 1894. Le 1er août 1903, il reçoit sa commission à la pratique du Droit comme notaire public. La même année, il s'établit à Sainte-Émélie-de-l'Énergie jusqu'en 1915. Par la suite, il s'établit à Joliette. Joseph Alexis Norbert Ferland se passionne pour les études généalogiques. Il dresse de nombreux tableaux généalogiques des familles de la région de Joliette. Il est également l'un des membres fondateurs de la Société Historique de Joliette. Il meurt à l'hospice Saint-Eusèbe le 9 juillet 1952 et inhumé au cimetière de Joliette. Sur sa pierre tombale sont gravés les mots généalogiste réputé.

Joliette Journal (Lanaudière)

L'origine du Joliette Journal remonte à 1947. On retrouve à la direction de ce journal, Conrad Boisvert, rédacteur et Frank Rivest, trésorier. Le journal aborde dans ses chroniques des sujets comme la politique canadienne, le Régiment de Joliette et des écrits pittoresques. Quelques années plus tard, Bertrand Malo devient le seul propriétaire de ce journal. Plus les années passent, plus le journal prend de l'importance, si bien information sur le plan local qu'une vingtaine d'années après son ouverture, il devient une référence en t régional. Cette remontée est due au fait que le journal a su apporter, de façon stratégique, diverses modifications techniques tout en augmentant le nombre de ses journalistes. Le Joliette Journal est d'abord publié en petit format. Ce n'est qu'en 1953 qu'on le retrouve en grand format. En 1965, on assiste à la fusion du Joliette Journal et de l'Étoile du Nord, le plus ancien hebdomadaire joliettain. Le Joliette Journal est alors publié durant un certain temps sous les deux noms, mais le titre du nouvel arrivant est finalement délaissé ce qui fait en sorte que l'on retrouve en entête uniquement celui de Joliette Journal. Suite à cette fusion, le Joliette Journal décide de réorienter quelque peu sa vocation. Il se fait entre autres un devoir de se détacher de la partisannerie politique, lui qui est plutôt teinté de rouge, et il envisage surtout de répondre aux besoins de l'ensemble de la population. En 1947, le journal se compose de 16 pages de format tabloïd et se retrouve en 1965 avec l'équivalent de 60 pages de ce format. On doit aussi noter que le journal par la même occasion élargit ses champs d'actualité. De plus, durant les années qui vont suivre, la composition physique du journal va s'adapter aux nouvelles trouvailles dans le domaine de l'imprimerie, telles l'utilisation de la couleur. On va même jusqu'à faire distribuer le journal par des camelots et réussir à le mettre en vente dès le mercredi matin. Il faut préciser que nous ne sommes pas en mesure de déterminer en quelle année ce journal a cessé d'être publié. Cependant, afin de compléter cette histoire administrative, des recherches sont en cours.

Café-Retrouvailles (Joliette, Lanaudière)

L'origine du Café-Retrouvailles remonte en [1984 ?] à Joliette. Ce dernier a comme fondateur Marcel Côté, un membre retrait_ du Régiment de Joliette. Le Café-Retrouvailles, est un regroupement constitué uniquement d'hommes retraités, provenant de diverses professions. Ces derniers se rencontrent une fois par mois dans des restaurants de Joliette. Le but de ces rencontres est bien entendu de jaser et d'avoir du plaisir, mais surtout de partager des expériences qu'ils ont vécues dans leur profession respective. Ceci se concrétise à travers les conférences données lors des rencontres, soit par des membres du regroupement ou encore par des invités. De plus, des sorties éducatives sont organisées pour venir enrichir et diversifier les rencontres. Bien que ce regroupement soit uniquement réservé aux hommes, il arrive à l'occasion que les conjointes soient invitées à participer à certaines activités. Nous savons que le Café-Retrouvailles est toujours en action au moment où nous avons élaboré cet état général des fonds.

Jetté, Albion, prêtre

Nous savons qu'Albion Jetté exerce la profession de prêtre et de chanoine. Il est également le cousin de Mgr Édouard Jetté. Nous n'avons pas retrouvé d'éléments supplémentaires pour élaborer cette notice biographique. Cependant, afin de compléter cette dernière, des recherches sont en cours.

Jetté, Édouard, prêtre (1898-1988)

Édouard Jetté, fils de Bruno Jetté et de Louisa Forget est né à Saint-Jacques-de-l'Achigan, le 9 août 1898. Son père Bruno exerce la profession de cultivateur. Édouard fait ses études primaires à Saint-Jacques à l'école des Continuations. Il fait ses études classiques au Séminaire de Joliette de 1912 à 1919 et ses études théologiques au Grand-Séminaire de Montréal de 1919 à 1923. De 1928 à 1929, il étudie la philosophie à Rome et de 1929 à 1931, il étudie les lettres à Paris. Il est Ph.D et L. ès L. et L.Th. Le 31 mai 1923, il est ordonné prêtre à Saint-Jacques, par Mgr Guillaume Forbes. Il est professeur au Séminaire de Joliette de 1923 à 1926 et de 1931 à 1943. De 1926 à 1928, il est missionnaire diocésain. De 1943 à 1962, il est le curé de la cathédrale de Joliette puis en [1943?], il devient chanoine titulaire de la cathédrale. De 1946 à 1962, il est vicaire général. Le 14 avril 1948, il est ordonné évêque de Table et auxiliaire à Joliette. Il occupe ce poste jusqu'en 1962 où il est nommé le 12 mai administrateur apostolique de Joliette. Il prend sa retraite à Saint-Jacques en 1968. Il réside par la suite à l'évêché de Joliette. Édouard Jetté participe à toutes les sessions de Vatican II. Il décède à Joliette au Foyer Saint-Eusèbe, le 30 janvier 1988 à l'âge de 89 ans. Il est inhumé dans la crypte de la cathédrale de Joliette.

Alary, Alcide, prêtre

Alcide Alary fait ses études au Séminaire de Joliette. Ces dernières se terminent en 1912. Il exerce la profession de prêtre au sein des Pères des missions étrangères. La même année, il réside à Sainte-Mélanie. En 1914, il est de passage au Collège de l'Assomption. Par la suite, il est curé à Sainte- Julienne puis à Sainte-Marie-Salomé. Ensuite, il devient l'aumônier à l'Hôpital Saint-Eusèbe. Entre [1925?] et 1958, il est le curé de Sainte- Élisabeth. En 1962, il est délégué pour participer au Concile de Rome. L'année suivante, il revient demeurer à Joliette sur la rue Saint-Charles-Borommée Nord.

Lachapelle, Émile, prêtre (1884-1968)

Émile Lachapelle, fils d'Euclide Lachapelle et d'Adéline Barrette, est né le 25 octobre 1884 à Joliette. Il fait ses études classiques au Séminaire de Joliette et ses études théologiques au Grand-Séminaire de Montréal. Le 29 juin 1908, il est ordonné prêtre à la cathédrale de Joliette par Mgr Archambault. Émile Lachapelle est secrétaire particulier de Mgr Archambault de 1908 à 1913 et de Mgr Forbes de 1913 à [1915?]. Par la suite, il est chancelier du diocèse de Joliette, puis procureur diocésain de 1913 à 1933. Entre temps, en 1919, Émile Lachapelle est nommé chanoine titulaire du Chapitre cathédral. De 1933 à 1937, il exerce la profession de curé à Saint-Ambroise-de-Kildare, puis à Saint-Esprit de 1937 à 1939 et à Saint-Félix-de-Valois de 1939 à 1945. Il se retire à Joliette en 1945. Émile Lachapelle est l'un des co-fondateurs de la Société Historique de Joliette. Il décède à Notre-Dame-des-Prairies le 30 août 1968 et est inhumé dans la crypte de la cathédrale de Joliette.

Bonin, Louis-François, prêtre (1848-1924)

Louis-François Bonin, fils de Basile Bonin, est né le 11 juillet 1848 à Lanoraie. On lui connaît deux frères, Joseph et Régis. Louis-François Bonin fait ses études classiques au Séminaire de Joliette et ses études théologiques au Grand-Séminaire de Montréal. Le 21 décembre 1872, il est ordonné prêtre par Mgr Pinsonneault. Louis-François Bonin est vicaire au Sault-au-Récollet de 1872 à 1876 puis à Saint-Anicet de 1876 à 1877, à Saint-Jérôme de 1877 à 1878 et enfin à Saint-Côme de 1878 à 1887. Il est à l'origine de l'érection d'une église et d'un presbytère dans ce village en 1886 et 1887. Il est également curé de Sainte- Mélanie de 1887 à 1904. Il exécute un pèlerinage de Rome en Terre Sainte en 1903. Par la suite, il est curé à Saint-Roch de l'Achigan de 1904 à 1924, puis chanoine titulaire de la cathédrale de Joliette. Il décède le 1er octobre 1924 à l'âge de 76 ans.

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