Showing 111875 results

Authority record

Fonds Corporation de développement communautaire du KRTB

En 1981, le Mouvement d'éducation populaire et d'actions communautaires du Québec (MÉPACQ) soutient la mise sur pied d'un projet de développement d'une table régionale d'organismes volontaires d'éducation populaire (OVEP) pour le Bas-Saint-Laurent. Quatre ans plus tard, soit en 1985, le Comité des Ressources OVEP obtient son incorporation. Cet organisme, couvrant les MRC de Kamouraska, Rivière-du-Loup, Témiscouata et des Basques, offre des services et activités d'éducation populaire dans son milieu. De 1985 à 1990, le Comité des Ressources OVEP travaille en collaboration avec le Regroupement populaire du KRTB, une structure informelle animée par l'organisateur communautaire du CLSC de Rivière-du-Loup. En 1990, suite à une consultation auprès des groupes de base (enquête et colloque " Un vent de changement "), il y a fusion entre le Regroupement populaire du KRTB et le Comité des ressources OVEP. Cette fusion est officialisée lors de l'assemblée générale spéciale du 24 octobre 1990. Le 18 mars 1991, l'organisme prend officiellement le nom de Regroupement des organismes communautaires (ROC) du KRTB. Par conséquent, trois axes d'intervention sont priorisés, soit l'éducation populaire, l'action communautaire et le développement local. À la fin de l'année 1996, le ROC du KRTB change de dénomination sociale et devient la Corporation de développement communautaire (CDC) du KRTB. Ce changement survient dans la perspective d'affirmer de nouvelles orientations développées durant la période 1992-1996 en plus de réaffirmer celles adoptées en 1991. La CDC du KRTB est un regroupement d'organismes communautaires oeuvrant dans divers champs d'activités sur le territoires des MRC du Kamouraska, de Rivière-du-Loup, du Témiscouata et des Basques. Sa mission consiste à assurer la participation active du mouvement populaire et communautaire au développement socio-économique du milieu. En d'autres termes, la CDC du KRTB vise la consolidation et le développement communautaire ainsi que l'amélioration des conditions de vie en favorisant l'augmentation de la capacité d'agir et d'intervenir des personnes dans leur milieu. Pour y parvenir, la CDC du KRTB doit regrouper les organismes communautaires sur leur territoire et exercer les représentations appropriées afin de contribuer à une meilleure visibilité et leur reconnaissance du milieu ; stimuler la participation active du secteur communautaire au développement socio-économique de son milieu ; favoriser une meilleure connaissance et reconnaissance de cette contribution ; enfin, renforcer et générer le secteur communautaire. Par conséquent, la CDC du KRTB possède six volets d'intervention : organisation interne et vie démocratique ; concertation, partenariat et représentation ; soutien, formation et développement ; sensibilisation, information et mobilisation ; développement local et économie sociale. Depuis 1997, la CDC du KRTB a été impliquée activement dans de nombreux projets : comité solidarité, animation rurale dans les MRC de Rivière-du-Loup et du Kamouraska, transport collectif intégré en milieu rural, école populaire, Tables en économie sociale du KRTB, ... Enfin, depuis de nombreuses années, la CDC du KRTB organise des formations à l'intention de ses membres.

Fonds Camille Ouellet

Employé de l'organisme Supérieur Propane Inc. pendant plus d'une trentaine d'années, Camille Ouellet a fait partie des Cadets de la marine de 1942 à 1947. Par la suite, il consacra une dizaine d'années de sa vie au scoutisme (1951-1961) et fut le fondateur du 1er corps de clairons et tambours de Rivière-du-Loup (1961-1964). Qui plus est, M. Ouellet fut instructeur civil des cadets de terre à Edmundston, Nouveau-Brunswick (1971-1972), instructeur et quartier maître pour le Corps de cadets de terre no 2785 de Rivière-du-Loup (1980-1988), chef instructeur et assistant commandant des Cadets de l'aviation no 282 de Rivière-du-Loup (1989-1991) et enfin, cofondateur de la Filiale # 28 de la Légion Royale canadienne à Rivière-du-Loup (1993). Il a occupé les fonctions de président pour cet organisme pendant plusieurs années (1997-2002).

Fonds Magasin COOP de Rivière-du-Loup

C'est le 5 février 1943 que se tenait la première séance du Conseil d'administration du Syndicat coopératif de Rivière-du-Loup sous la présidence de monsieur Philippe Picard. Au cours de ce même mois, les membres fondateurs organisait la première assemblée générale. Cette réunion permis de nommer les membres de la direction ainsi que les membres du Comité de surveillance du Syndicat. Le but de cette nouvelle coopérative était de se rendre service et de s'entraider. Le premier contrat signé par la direction du syndicat permis l'achat de 200 cordes de bois. Au fil des mois, en plus d'acheter du bois, le Syndicat acheta du sirop d'érable, des graines de semence, du sucre, des patates et de la volaille. Le 26 mars 1943, monsieur Edgar Beaulieu était nommé gérant du Syndicat. En octobre 1944, la coopérative regroupait 37 membres. C'est le 1er décembre 1944 que les dirigeants décident d'ouvrir un magasin et loue le 10 de la Côte St-Jacques. La grande ouverture eu lieu le 10 décembre 1944 sous la direction de monsieur Benoît Chabot assisté de monsieur J A Bérubé. Mlle Gabrielle Bérubé sera embauché à titre de premier commis et monsieur Beaulieu agira à titre de livreur de colis. Lors de l'assemblée générale de février 1944, les membres sont au nombre de 65. À l'automne 1945, le Syndicat achète le 5 rue Lévis propriété de monsieur Cléophas Thibault au prix de 5400.00 $ payable en versement de 45.00 $ par mois sans intérêt jusqu'à échéance. Le 3 mai 1946, le Syndicat procède à l'engagement de monsieur Roland Boucher comme gérant au salaire de 20.00 $ par semaine. En juillet 1953, il sera élu trésorier et gérant du Syndicat. Ce dernier travaillera au sein de la coopérative jusqu'à son décès le 18 février 1982 après plus de 35 ans de service. C'est monsieur Claude Gagnon l'adjoint de monsieur Boucher qui assumera l'intérim et son poste sera confirmé le 17 mars 1982. Le 17 mars 1952, le Syndicat vend à monsieur Roland Boucher l'immeuble du Syndicat comprenant les terrains et bâtisses au prix de 4700.00 $. Toutefois, le 22 juillet 1953, le Syndicat procède au rachat de l'immeuble. En mai 1957, le Syndicat met sur pied un comité de construction ayant pour but de déterminer un plan définitif pour la future construction du magasin dont la façade sera sur la rue du Domaine à Rivière-du-Loup. Le 6 novembre 1958, le Syndicat vend l'immeuble de la rue Lévis à Les Immeubles Coop de Rivière-du-loup. C'est le 30 novembre 1964 que l'on procède à l'inauguration du nouveau magasin de la rue du Domaine. En février 1959, le Syndicat adhère à la Fédération des Magasins Co-op. En 1961, le Syndicat demande le changement de nom pour devenir le Magasin Co-op de Rivière-du-Loup. Le 7 mai 1966, est publié dans la Gazette officielle, l'approbation par le Secrétaire de la province du changement de nom de l'association coopérative Syndicat coopératif de Rivière-du-Loup en celui de Magasin Co-op de Rivière-du-Loup. En 1972, en raison du volume des ventes et de l'achalandage du magasin, un agrandissement du magasin de la rue du Domaine devient nécessaire. Toutefois, l'administration de la Coopérative commence des démarches avec le Centre commercial de Rivière-du-Loup. Le 13 décembre 1973, le gérant Roland Boucher ainsi que Alphée Picard directeur des Services techniques et René Lavoie son adjoint sont autorisés à faire toute les démarches nécessaires avec les représentants du Centre d'achat de Rivière-du-Loup pour la location d'un local de 23,500 pieds carrés. À cette même séance du Conseil d'administration, le gérant est autorisé à signer le bail avec le Centre d'achat ainsi qu'à acheter l'ameublement nécessaire pour le nouveau magasin. En 1981, le magasin du Centre commercial procèdera à des travaux d'agrandissement. En juin 1995, après 52 d'existence, la coopérative à maintenant plus de 8000 membres. Au fil des ans, elle changera sa bannière Co-op pour devenir Coop IGA, puis finalement Coop Métro. En 2005, la Compagnie Métro exige des travaux de rénovation dans le magasin et la Coop de Rivière-du-Loup réalise des travaux d'aménagement dans le magasin du Centre Commercial de Rivière-du-Loup. C'est en décembre 2010 que les membres du Conseil d'administration sous la présidence de monsieur Normand Provençal décide de fermer la coopérative et de vendre les actifs à Métro. Cette dernière fera des travaux de rénovations pendant plusieurs mois pour ouvrir au printemps 2011 un Super C.

Fonds Patrimoine Massé de Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup

L'histoire de cette famille débute en 1891 quand monsieur Honoré Massé, premier de la génération, acheta une petite meunerie à Saint-Hubert de Rivière-du-Loup. Celle-ci appartenait alors à un certain Mathias Saindon qui avait fait construire un moulin à scie et à farine sur la rivière Sénescoupé à l'entrée du village en 1875. Quand Honoré Massé prit possession de ces moulins, il décida de les réorganiser pour les rendre plus performants. Le pouvoir de l'eau n'étant pas assez puissant, les moulins ne pouvaient pas fonctionner en même temps et ils ne pouvaient pas être utilisés durant l'hiver. Avec l'aide des habitants du village, Honoré construisit un nouveau bassin pour mieux emmagasiner l'eau et ainsi créer une force hydraulique assez puissante pour faire fonctionner simultanément les deux moulins. Grâce à ces modifications, en plus de fonctionner en même temps, les moulins pouvaient être utilisés en toute saison. Craignant les risques d'un incendie, Honoré fit déplacer le moulin à scie en 1901 sur la rue Massé. La proximité des deux moulins auraient complètement détruit les bâtiments et probablement ce qu'il y avait également autour. Cela fut une excellente idée, car le moulin à scie fut la proie des flammes à trois reprises soit en 1932, 1950 et en 2000. Malgré tout, à chacune des nouvelles tragédies le moulin fut reconstruit. Ce moulin deviendra alors la pierre angulaire d'un petit complexe industriel dans la ville de St-Hubert de Rivière-du-Loup. Dans le but d'économiser l'eau du bassin, Honoré installa un engin à vapeur pour faire fonctionner le moulin à scie. La vapeur fut utilisée comme source d'énergie jusqu'en 1993 où la mutation vers l'électricité fut faite. L'énergie utilisée pour faire fonctionner le moulin était ainsi suffisante, mais vers 1910, on commença à produire de l'électricité. Les maisons qui étaient installées le long de la rivière Sénescoupé pouvaient donc profiter de cette énergie. Voulant eux aussi bénéficier de cette ressource, les gens du village demandèrent à Honoré de leur fournir de l'électricité. C'est donc en 1912 qu'il décida de construire un nouveau barrage à l'ouest de la route du village, en amont des moulins à scie et à farine. La bâtisse qui abrita l'usine électrique avait jadis servi de tannerie. Celle-ci avait été bâtie au début des années 1900 et elle avait été la propriété de François Bélanger et J.C. Bérubé avant d'être vendu à monsieur Massé qui en fit son bureau. L'électricité produite était générée à l'aide d'une dynamo qui actionnait une turbine. Celle-ci fonctionnait grâce à la force hydraulique du nouveau barrage construit par Honoré qui permettait une plus grande réserve d'eau. La municipalité de Saint-Hubert bénéficia de cette électricité durant quelques années jusqu'au moment où la Compagnie de pouvoir du Bas-Saint-Laurent acheta les droits de passage de la ligne électrique en 1956. On peut dire que monsieur Honoré Massé était un homme d'avenir qui cherchait toujours ce qui avait de meilleur sur le marché pour optimiser l'entreprise et offrir à la population des services de qualités. En 1925, le fils d'Honoré, Freddy Massé, prit la relève de l'entreprise familiale. Freddy Massé poursuivit le développement de cette industrie qui prenait de plus en plus d'expansion. Bien que celle-ci connut la crise économique de 1930 et la Deuxième Guerre mondiale, celle-ci continua d'opérer et de procurer des emplois et des services à la communauté. En plus d'être un industriel accompli, monsieur Freddy Massé a été maire de la municipalité de St-Hubert et préfet de la ville de Rivière-du-Loup, et ce, pour une période totalisant presque 25 années. Celui-ci arrêta sa carrière politique suite à son état de santé qui devenait de plus en plus critique. Les médecins lui recommandèrent le repos, ce qui l'obligea à quitter le monde de la politique. Malgré tout, cela ne l'empêchait pas de se dévouer complètement jusqu'à la fin. Celui-ci entreprenait toujours des travaux de rapiéçage sur le domaine familial, et ce, même à l'âge de 90 ans. À chaque été, il réparait quelque chose que ce soit l'écluse ou le toit d'un bâtiment. Le fils d'Honoré Massé mourut en 1990 à l'âge de 97 ans. Après cette deuxième génération, le neveu de Freddy (fils par adoption), Maurice Massé prit la relève en 1960. Ce dernier développant et mit en place un nouveau produit sur le marché, c'est-à-dire la clôture à neige. La manufacture Maurice Massé inc. a été l'une des premières entreprises de la province à fabriquer et à offrir ce produit au Québec. L'industrie familiale continua d'opérer une usine de sciage de colombages, mais y ajouta au fil des années de nouveaux produits comme les tables à pique-nique, des abris, des palettes et divers autres sous-produits du bois pour les pépinières gouvernementales. En 1991, la quatrième génération de la famille entra en jeu alors que l'entreprise familiale allait bientôt fermer ses portes faute de relève. Lise Massé, descendante directe de la famille Massé, et son conjoint Max D'Amours, retraité de l'enseignement universitaire, décidèrent de revenir «au pays» pour remettre sur pied l'industrie. Ensemble, ils décidèrent de redéployer l'entreprise familiale pour que celle-ci continue d'être un point important de la communauté autant sur le plan économique que sur le plan culturel. Ainsi, Industries Massé et D'Amours (IMD) fut créée pour perpétuer cet héritage de longue date. En plus, la Société de conservation du patrimoine Massé fut également créée pour conserver et mettre en valeur le site familial et garder vivante cette mémoire collective. Dans les années 1999-2000, l'entreprise fit peau neuve en modernisant et agrandissant sa scierie par de nouveaux équipements plus récents et plus performants. Malheureusement, un incendie vain anéantir leurs efforts dans la nuit du 18 février 2000. Seul l'atelier des clôtures ne fut pas touché. Malgré tout, l'entreprise se releva les manches et la scierie fut reconstruite six (6) mois plus tard pour reprendre ses activités et offrir plus de 25 emplois aux gens de la région de Saint-Hubert de Rivière-du-Loup. Cet incendie, bien que malheureux, orientant Industries Massé et D'Amours à poursuivre une nouvelle idée, celle de la 2e transformation. Celle-ci consiste à transformer des volumes modestes de bois et de créer de nouveaux produits issus de ce principe. Malheureusement, Industries Massé et D'Amours est passé entre d'autres mains le 23 avril 2009. Suite à la crise forestière et à la crise financière mondiale qui a sévie, Lise Massé et Max D'Amours n'ont pas eu d'autres choix que de trouver une nouvelle relève qui puissent continuer d'offrir des emplois à la communauté. Dans le but de garder le lien historique avec Honoré Massé, les nouveaux propriétaires fonctionnent toujours sous la même dénomination sociale. Durant toutes ces années, l'entreprise familiale n'a pas cessé de se réinventer et d'innover pour offrir sur le marché de nouveaux produits, et ce, malgré les difficultés qu'elle a pu rencontrer depuis sa fondation en 1891 avec Honoré Massé. Il va sans dire que cette entreprise offre un grand héritage patrimonial pour la région, mais elle est aussi un point central dans le développement de l'exploitation forestière et de la création d'emplois. Source : Cet historique administratif s'est fortement inspiré des documents suivants :  Historique de l'entreprise rédigée par monsieur Max D'Amours, dossier 118, boîte 9.  Programme de prévention, Comité santé et sécurité, 2007, dossier 79, boîte 7.

Fonds Les Vieux Loups de Rivière-du-Loup

Les Vieux Loups de Rivière-du-Loup est une corporation qui a été fondé le 23 mars 1984. Les membres fondateurs sont Yves Bourré, Yves Roussel et Pierre Ouellet. Toujours actif dans le milieu depuis toutes ces années, les objectifs de l'organisme sont les suivants : «Regrouper des personnes dans un but social et de loisirs; Promouvoir différentes activités sociales pour ses membres et financer ses œuvres de charité; Aider financièrement différents organismes et/ou des individus dans le besoin situés dans le Grand Territoire de Rivière-du-Loup». Ainsi à chaque année, des activités de financement sont organisées pour amasser les ressources financières nécessaires pour venir en aide à divers organismes et individus. Ceux-ci sont sélectionnés par un comité spécial qui étudie chaque demande et qui doit, face à de nombreuses demandes, trancher selon la mission et les objectifs des Vieux Loups. Source : Règlements généraux, dossier 1, boîte 1.

Fonds Association régionale des prothèses du KRTB

En 2002, Denis Leclerc et Jacques Émond, ayant tous deux bénéficié d'une chirurgie totale de remplacement articulaire, ont l'idée de mettre sur pied une association de personnes possédant une prothèse de la hanche et du genou . Cette organisation aurait deux objectifs distincts : resserrer les liens entre les personnes porteuses de prothèse et les intervenants impliqués dans les soins relatifs à cette chirurgie orthopédique ; témoigner au corps médical et para-médical une certaine reconnaissance pour les soins reçus par des actions de soutien financier. L'idée fait son chemin et la collaboration d'un membre du service d'orthopédie est sollicitée. Le docteur Jean Cournoyer offre sa disponibilité pour collaborer à la mise sur pied de l'association. En février 2003, un feuillet promotionnel est réalisé et le mois suivant, des lettres explicatives sont expédiées à 300 patients ayant subi une intervention chirurgicale pour la pose d'une prothèse articulaire. À noter que ces lettres comprenaient une partie détachable ainsi qu'une enveloppe de retour. Par conséquent, plus d'une centaine de personnes répondirent à la lettre explicative. Sur les 150 réponses obtenues, certains individus manifestèrent leur intérêt à devenir membre de l'association. Au début du mois de juin 2003, une lettre fut expédiée aux gens qui répondirent à la missive de mars 2003 pour les inviter à une réunion d'informations et de mise sur pied de structures administratives. Lors de cette réunion qui se déroula le 3 juillet 2003 au Motel Universel, les 33 personnes présentes procédèrent à l'acceptation des règlements généraux et à l'élection du premier conseil d'administration : Denis Leclerc (président), André Dumas (vice-président), Yves Roussel (trésorier), Jacques Émond (secrétaire), Simone Lavoie, Yves Massé et Jean-Claude Parent (directeurs). Une personne-ressource en orthopédie siège également au sein du conseil d'administration. Lors des premières années d'existence de l'organisme, deux activités majeures furent organisées : les marches symboliques (septembre 2003-2004) et les soupers-conférences (2004-2005). Lors des marches symboliques, les participants ont pu assister à une démonstration d'une intervention chirurgicale pour la pose de prothèse, marcher, s'inscrire à titre de membre et visiter des kiosques. Pour ce qui est des soupers-rencontres, les membres assistèrent aux conférences des docteurs André Cojocaru (histoire et évolution des prothèses) et Jean Cournoyer (activités possibles pour les personnes avec une prothèse articulaire). Ces allocutions eurent lieu respectivement en avril 2004 et en mai 2005. Depuis l'année 2004, un bulletin d'informations « L'Articulation » est expédié aux membres trois fois par année. En 2007, l'Association régionale des prothèses du KRTB réalisa, en collaboration avec les services d'orthopédie et le Centre hospitalier de Rivière-du-Loup, une vidéo de référence sur la pose de prothèses articulaires. Par conséquent, l'organisme poursuit son recrutement dans le but de venir en aide aux personnes porteuses d'une prothèse articulaire ou se préparant à subir une intervention chirurgicale dans ce sens. Source : Le texte ci-haut provient d'un document intitulé « Historique de l'Association des prothèses du KRTB ».

Fonds Famille Pierre Pelletier et Marcelline Marier

Né le 28 février 1892 dans la paroisse de Saint-Louis du Ha! Ha!, Pierre Pelletier est le fils de Théodore Pelletier et d'Henriette Parent. Il travailla comme serre-frein pour le Canadien National jusqu'à sa retraite. Il fut d'ailleurs l'un des pionniers dans la région. Il décéda à Rivière-du-Loup le 11 août 1982. Également née dans la paroisse de Saint-Louis du Ha! Ha! le 6 janvier 1893, Marcelline Marier est, pour sa part, la fille de Joseph Marier et de Victoria (Victoire) Bélanger. Elle décéda le 13 février 1990 à Rivière-du-Loup. Tous deux se marièrent le 23 octobre 1916 et vinrent s'établir, au alentour de ces années-là, à Rivière-du-Loup, plus exactement au 2 rue Témiscouata à Saint-Ludger. De leur union naquirent sept enfants : o Berthe : S'est mariée à Armand Roy et ils eurent 4 enfants. o Rosaire (jumeaux): S'est marié à Marianne Couturier et ils eurent 3 enfants. Il fut chauffeur d'autobus pour la communauté urbaine de Québec. o Roger (jumeaux) : S'est marié à Cécile Bard et ils eurent 6 enfants. o Elphège : S'est marié à Monique Pelletier et ils eurent 1 enfant. Il fut capitaine dans la marine et garde côtière canadienne. o Régent : Est décédé en 1949. o Lucille : Elle resta célibataire, sans enfant. Elle travailla à la pâtisserie Charles Saint-Pierre et dans un dépanneur. o Rodolphe : S'est marié à Marcelle Viel et ils eurent 2 enfants. Rodolphe travailla à l'Hôtel-Dieu de Rivière-du-Loup jusqu'à sa retraite. Source : «Les Pelletier du coin Alexandre / Témiscouata », boîte 1, dossier 4

Fonds Association Québec-France, Régionale Bas-Saint-Laurent

Le 6 octobre 1988, une vingtaine de personnes se réunirent au Musée du Bas-Saint-Laurent à Rivière-du-Loup afin de former un comité provisoire en vue de la création d'une section régionale de l'Association Québec-France, dont le territoire s'étendait de La Pocatière jusqu'à Bic. Parmi les gens présents lors de cet évènement, mentionnons Michel Rioux, directeur des loisirs de la ville de Trois-Pistoles, Michel Robitaille, directeur général de Québec-France, ainsi que la future présidente de la régionale, Mme Rose-Marie Rioux. Le 4 décembre suivant, lors d'une réunion présentée au Centre culturel de Trois-Pistoles, le premier conseil d'administration de l'organisation fut élu. Par conséquent, les membres du premier C.A. étaient : Jean Fontaine, président ; Rose-Marie Rioux, vice-présidente ; Claire Héroux, secrétaire-trésorière ; Monique Gagnon, Kathleen Hélie, Jean-Claude Parent et Maurice Saint-Pierre. Au printemps 1989, la première assemblée générale de l'Association Québec-France, régionale Bas-Saint-Laurent se déroula à la cabane à sucre de David Jean de Sainte-Françoise, au cours de laquelle J.-François Beaulieu présente une causerie sur la généalogie. En 1989 et tout au long de la décennie 1990, les membres de l'Association régionale organisèrent et participèrent à plusieurs activités et évènements : vin d'amitié à l'occasion de la Fête nationale des Français pour souligner le 200e anniversaire de la Révolution française (14 juillet 1989) ; participation au Congrès international commun des associations Québec-France et France-Québec, tenu à Jonquière (août 1989) ; brunch conférence au Motel Lévesque de Rivière-du-Loup au cours duquel M. Gardel prononça une allocution portant sur la région de Bordeaux (29 octobre 1989) ; visite du vice-consul de France à l'occasion du Festival des Isles de Trois-Pistoles (14 juillet 1990) ; célébration du 25e anniversaire des relations franco-québécoises à la Maison de la culture de Rivière-du-Loup (23 novembre 1990) ; participation au Congrès commun de Brive-la-Gaillarde, Limousin (1991) ; participation au Congrès commun de Sherbrooke (juillet 1993) où débuta officiellement les échanges entre l'organisation bas-laurentienne et la Régionale française de Seine-Saint-Denis-Québec ; souper breton-basque à l'auberge Le Bocage de Trois-Pistoles (29 octobre 1993) ; souper-conférence au cours duquel M. Hubert Charron entretint les membres de la Régionale sur le Château de Versailles (8 octobre 1994) ; participation au Congrès commun de Versailles et signature du pacte d'amitié entre la Régionale Bas-Saint-Laurent et Seine-Saint-Denis-Québec (juillet 1995) ; conférence de M. Hubert Charron sur Alexandre Dumas à l'Université du Québec à Rimouski (21 octobre 1995) ; souper et parade organisés en vue des fêtes du 300e anniversaire de fondation de Trois-Pistoles (16 mars 1996) ; assemblée générale annuelle de la Régionale tenue à Rimouski dans le cadre du 300e anniversaire de fondation de la ville (11 mai 1996) ; participation aux Fêtes du 25e anniversaire de Québec-France au Château Frontenac (26 octobre 1996) ; participation au Congrès commun de Carleton (6-9 juillet 1997) ; souper breton au Bocage de Trois-Pistoles (30 octobre 1997) ; enfin, participation à un souper d'un groupe de Français, pilotés par la présidente de la régionale de Rennes-Québec, Mme Christianne Peron (21 juin 1998). En 1999 et tout au long de la première décennie du XXIe siècle, les membres de l'Association Québec-France, régionale Bas-Saint-Laurent continuèrent d'organiser des activités en plus de participer à de nombreux évènements : souper-conférence à Trois-Pistoles (13 octobre 1999) portant sur Chopin et George Sand ; participation à la Dictée Québec-France intitulée « La Marche des femmes de l'an 2000 » (16 avril 2000) ; célébration de la Fête nationale des Français par une messe en grégorien à l'église de Saint-André de Kamouraska (14 juillet 2002) ; repas à saveur corrézienne au restaurant Au Sablonet (19 janvier 2003) ; excursion à l'île aux Basques (13 juillet 2003) ; participation au 3e Congrès de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie présenté à Rimouski (21-22 mai 2004) ; visite de Français de la régionale Hautes-Vallées Charente-Québec à Rivière-du-Loup (19-20 septembre 2004) ; participation aux activités de la francofête : dictée et conférence (11-20 mars 2005) ; participation au Congrès commun à Gatineau (14-17 juillet 2005) ; visite du consul général de France, M. François Alabrune à Rimouski (5 juin 2007) ; célébration de la Fête nationale des Français à Trois-Pistoles (14 juillet 2007) ; participation à la célébration de l'arrivée des vins nouveaux (26 novembre 2007) ; enfin, présentation d'une conférence de Mme Jeannine Ouellet intitulée « Les liens d'amitié entre les Français et les Écossais aux siècles passés » (avril 2008).

Fonds Georges Levasseur

Originaire de Rivière-du-Loup dans la paroisse de Saint-Ludger, Monsieur Georges Levasseur est un passionné qui a travaillé pour le chemin de fer. Au cours des dernières années, il a principalement écrit des textes historiques sur la région de Rivière-du-Loup.

Fonds La Rumeur du Loup

En 2008, Martin Couture et quelques uns de ses amis lancèrent le «Q-Dpoule », un journal mensuel relatant les activités culturelles, artistiques, sociales et environnementales de la région de Rivière-du-Loup et ses environs. À la fin de l'année 2010, le mensuel arrêta temporairement ses activités pour reparaître au mois de février 2011. Par conséquent, Louis-Philippe Gélineau-Busque devint le nouveau propriétaire du journal et en mars 2011, le «Q-Dpoule » changea de nom pour « La Rumeur du Loup ». Au cours de la même année, l'équipe du journal apporta plusieurs améliorations au mensuel. En effet, celui-ci parut désormais entièrement en couleur avec du papier de meilleure qualité et un graphisme plus dynamique qu'auparavant. Grâce à la collaboration de nombreux bénévoles, le périodique a pour objectif de promouvoir le travail des artistes locaux et régionaux en plus de faire rayonner la culture de la région du KRTB. En décembre 2012, «La Rumeur du Loup» publia le 50e numéro de son histoire.

Results 81 to 90 of 111875