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Revue de presse 1979-1980

Ce dossier de presse témoigne des débuts de Paul-André Fortier comme chorégraphe indépendant au Québec comme à l'étranger. Nous suivons sa carrière à travers ses premières créations, notamment deux chorégraphies créées en 1979 pour le Groupe Nouvelle Aire : Rêve 1 » en février et mai 1979 et « Parlez-moi du cul de mon enfance » en novembre 1979. Suit une tournée en France au cours de laquelle il interprète une chorégraphie de Michel Caserta, intitulée « Visage de sable » à Vitry en avril 1980. Il présente une nouvelle création intitulée « Violence Décadence et Indécence » tour à tour à Paris, Vitry, Colombe, Bordeaux (France) et à Cologne en Allemagne. Ce dossier renferme une entrevue avec l'artiste accordée en décembre 1980

Entrevue "Danse et confidence". Ginette Laurin

Ce dossier porte sur une entrevue donnée devant public par Ginette Laurin, dans le cadre de la série « Danse et confidences », initiée par Paul-André Fortier, lors de sa résidence à la Cinquième salle de la Place des arts. Johane Despins anime cette entrevue radiophonique d’une heure qui sera retransmise sur la chaîne culturelle de Radio-Canada dès l’automne 2004. L’animatrice brosse un bref portrait de la carrière de Ginette Laurin, gymnaste, danseuse, chorégraphe montréalaise de réputation internationale, directrice artistique de la compagnie O Vertigo. Celle-ci fait se débuts avec le Groupe Nouvelle Aire sous la direction de Martine Époque. Elle fonde sa propre troupe O Vertigo en 1984, une compagnie de danse axée principalement sur la recherche. L’Appelation O Vertigo possède plusieurs connotations. Elle suggère l’idée de vertige, fascination de l’abîme, déséquilibre, de vivacité et d’effervescence . Dans son œuvre qui compte plus d'une quarantaine de chorégraphies à ce jour, l’énergie, la gestuelle et le rapport au temps domine plutôt que la forme. Elle dit aimer travailler avec d’autres créateur et rappelle sa collaboration avec la sculpteure Françoise Sullivan, signataire du Refus global. Tout récemment, elle a collaboré avec un astrophysicien pour la création de « Luna », une chorégraphie poétique qui utilise une technologie optique pour dessiner dans l’espace les traces lumineuses du mouvement. Elle cherche à combiner plusieurs médiums dans la conception de ses œuvres : vidéo, photographie, arts plastiques, installation. Elle parle du processus de création de sa prochaine pièce « Passare ». Selon elle, le marché québécois est malheureusement trop restreint. Il faut se positionner sur la scène internationale, miser sur les tournées et la diffusion à l’étranger. La danse devrait être aussi plus présente à la télévision. Les fonds pour la création sont restreints. Elle doit porter plusieurs chapeaux : chorégraphe, directrice artistique et gestionnaire. Il faut investir beaucoup d’énergie à la gestion de la compagnie : déposer une quarantaine de demandes de subventions par année, chercher des co-producteurs, mettre sur pied des activités d’auto-financement. Elle n’écarte pas la possibilité de revenir à la danse à l’occasion. Elle projette de travailler avec des danseurs de tous âges, ainsi que des non-danseurs, de créer des installations chorégraphiques et des œuvres multimédia

Entrevue "Danse et confidence". Édouard Lock

Ce dossier renferme deux enregistrements vidéo et sonore d'une entrevue donnée devant public par le chorégraphe montréalaise de réputation internationale Édouard Lock, dans le cadre de la série « Danse et confidences », initiée par Paul-André Fortier, lors de sa résidence à la Cinquième salle de la Place des Arts. Johane Despins anime cette émission radiophonique d’une heure qui sera retransmise sur la chaîne culturelle de Radio-Canada à l’automne 2004. L’Animatrice évoque d’abord l’enfance du créateur, né d’une mère espagnole et d’un père marocain. Élevé dans le judaïsme, il est un mélange de plusieurs cultures, se considère autant francophone qu’anglophone. Il n’est cependant pas issu d’un milieu artistique. Enfant plutôt rêveur et solitaire, il est très observateur, curieux des règles et des non-dits. Johane Despins rappelle ses trente ans de carrière, depuis ses débuts dès 1974 avec le Groupe Nouvelle Aire, aux côté de pionniers de la danse contemporaine au Québec : Martine Époque, Michèle Febvre, Paul-André Fortier, Ginette Laurin, Philippe Vita et Daniel Léveillé. L’artiste a beaucoup aimé cette compagnie où la hiérarchie n’existait pas vraiment et où chacun pouvait laisser libre cours à sa créativité. C’est dans ce contexte qu’il crée sa première chorégraphie en explorant des mouvements avec Ginette Laurin. Il a aussi dansé dans une œuvre de Daniel Léveillé avec Paul-André Fortier. Il débute ses propres tournées en Europe en 1982. Édouard Lock apprécie Montréal qu’il considère comme une capitale culturelle. L’anonymat dont il peut jouir ici lui semble très propice à la création qui exige une forme d’isolement. Lors du processus de création, il préfère rester dans sa réalité intérieure pour ne pas être influencé par d’autres créateurs. Il dit travailler en premier lieu sur la structure de l’œuvre, son architecture, sans musique et sans miroir. La musique ne vient qu’en dernier lieu. Il accorde aussi une grande importance au choix de ses danseurs avec lesquels il travaille en mode coopératif. Ses danseurs marquants, Marc Béland et Louise Lecavalier, allient force d’’interprétation et force athlétique. Les extrêmes jouent un rôle de premier plan dans la composition de ses œuvres. Il se dit fasciné par les extrêmes. Extrême lenteur et extrême rapidité sont pour lui deux polarités qui se rejoignent. Il faut pouvoir accepter la confrontation des limites. L’artiste ne cherche pas à intellectualiser ou à expliquer son œuvre. Tout est question de perception, selon lui. Il préfère laisser chaque spectateur construire sa propre interprétation de ce qu’il perçoit. Son œuvre peut paraître déroutante, voire déstabilisante pour certains. La danse comme le théâtre offre selon lui un contre-point aux valeurs affichées socialement. C’est un lieu unique de renouveau et de remise en question. Il apprécie beaucoup le caractère dynamique de la relation interprètes / spectateurs, propre à l’art de la danse

Correspondance: Adrienne Clarkson presents

Ce dossier contient une lettre de remerciement adressée en anglais à Paul-André Fortier concernant sa participation à l'émission d'affaires publiques «Adrienne Clarkson Presents» présentée sur les ondes de la Soiciété Radio-Canada / CBC. Une photographie d'Adrienne Clarkson en compagnie de Paul-André Fortier figure au dossier

Interview publique avec la poète Hélène Dorion

Le dossier contient les notes préparatoires et un scénario de Pierre Nepveu pour l'entretien du 28 janvier 2008 avec Hélène Dorion dans le cadre des rencontres du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ)

Rencontres avec des poètes

Le dossier contient un communiqué des Éditions du Noroît concernant des rencontres avec les poètes Hélène Dorion, Élise Turcotte et Pierre Nepveu

Fonds Michel Lessard

  • CA QUEBEC P151
  • Fonds
  • 1869-1998

Les pièces constituant ce fonds sont majoritairement en images. Quelques documents textuels s'y retrouvent également, lesquels sont composés de correspondance, de dossiers de recherche, mais surtout de synopsis de films et de dossiers relatifs à des productions audiovisuelles. La majorité des documents iconographiques sont des clichés réalisés par Lessard qui ont servi à illustrer ses publications sur l'architecture québécoise. Certaines photographies sont des acquisitions personnelles de M. Lessard, dont les vues panoramiques de Denis Tremblay. Il va de même de la photographie panoramique du village de Saint-Laurent-de-l'Île-d'Orléans, de celles de personnalités politiques du Québec de la fin du 19e siècle et des trois albums de photographies du Studio Edwards de Québec illustrant magnifiquement le Québec des années 1920 à 1940. Le fonds comprend une série de vingt-huit films documentaires qui ont été diffusés sous le titre UN PAYS, UN GOÛT, UNE MANIÈRE. Ces documents illustrent de belle façon maints aspects de la vie traditionnelle, du patrimoine québécois et, par là même, de la civilisation québécoise. Parmi les sujets abordés dans ces documentaires, nous retrouvons l'architecture des maisons en ville et à la campagne, l'architecture des granges, les traditions, les transports, le temps des sucres, l'alimentation comme la pêche, la fabrication du beurre, les caveaux à légumes, les fêtes, les jouets. L'iconographie ancienne et les entrevues sont abondamment utilisées. Deux autres documents concernent les images de Paul Provencher et la vie des Montagnais vue à travers la lentille de ce coureur des bois, photographe et cinéaste. Notons que ces documentaires ont été réalisés avec des cinéastes tels François Brault, Iolande Cadrin-Rossignol, Fernand Dansereau, Guy Dufaux et Jean-Claude Labrecque. De plus, les documents sonores qui complètent le contenu du fonds consistent en des entrevues réalisées par Lessard avec des photographes pour l'émission Les chemins de la création diffusée en 1989 et quelques discours de Duplessis à Trois-Rivières et à Sherbrooke en 1939. Les discours de M. Duplessis portent sur le droit de vote des femmes, le nationalisme, la conscription, la loi du cadenas et l'économie. Certains des termes rattachés ont été extraits de descriptions à des niveaux inférieurs apparaissant dans l'instrument de recherche

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