Subseries SS1 - Inventaire des oeuvres d'art (IOA)

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Inventaire des oeuvres d'art (IOA)

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CA QUEBEC E6-S8-SS1

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  • 1937-1970 (Creation)

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Biographical history

La loi instituant le ministère des Affaires culturelles est sanctionnée le 24 mars 1961. Le ministère se voit confier la tâche de favoriser l'épanouissement des arts et des lettres au Québec et de promouvoir leur rayonnement à l'extérieur. Il assure aussi de la conservation et de la mise en valeur du patrimoine québécois. L'adoption de cette loi marque une première en Amérique du Nord et démontre tout l'intérêt et la valeur que le Québec octroie à cet aspect. Ce nouveau ministère assume dans les années 1960 et 1970 les responsabilités de certaines activités jusqu'alors rattachées au ministère de la Jeunesse et au Secrétariat de la province à savoir les musées provinciaux, les bibliothèques publiques, les conservatoires de musique et d'art dramatique, les concours littéraires, scientifiques et artistiques et, enfin, la Bibliothèque Saint-Sulpice et les Archives de la province de Québec, qui deviendront respectivement la Bibliothèque nationale du Québec (BNQ), en 1967, et les Archives nationales du Québec (ANQ), en 1969. De plus, certains organismes sont placés sous sa juridiction pour des périodes variables: l'Office de la langue française, le Département du Canada français d'outre-frontières, le Conseil provincial des arts et la Commission des monuments historiques, auxquels s'ajoutent l'Office du film du Québec, en 1967, et le Bureau de surveillance du cinéma, en 1969. À partir de 1982, certaines composantes du ministère des Affaires culturelles acquièrent un statut juridique particulier tout en demeurant sous sa responsabilité ministérielle. C'est le cas de la Société du Grand Théâtre de Québec (1982), du Musée du Québec, du Musée de la civilisation et du Musée d'art contemporain qui, en vertu de la Loi sur les musées nationaux, deviennent des sociétés d'État en 1983. Plus récemment, en 1989, la Bibliothèque nationale du Québec (BNQ) est devenue une corporation autonome. En 1992, le ministère des Affaires culturelles change de nom lorsque le Parlement du Québec sanctionne le 22 décembre de cette même année la Loi sur le ministère de la Culture. Le champ d'action du ministère s'élargie le 17 juin 1994 lorsque l'on sanctionne la Loi sur le ministère de la Culture et des Communications. Le nouveau ministère intègre certains des champs de compétence de l'ancien ministère des Communications soit sa compétence concernant les médias, les télécommunications, la francophonie, les technologies de l'information et les entreprises de communications. Dès 1994, le ministère de la Culture et des Communications a pour mission de favoriser l'expression et la démocratisation de la culture au Québec ainsi que le développement des communications et de contribuer à leur rayonnement à l'étranger. À la suite du décret 306-2007 du 19 avril 2007, la ministre et le ministère de la Culture et des Communications sont désignés sous le nom de ministre et de ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine. Les responsabilités en matière d'égalité entre les femmes et les hommes sont confiées à la ministre qui est assistée dans son mandat par le Secrétariat à la condition féminine. Dans des visées de protection et de mise en valeur du patrimoine culturel, le fonds du patrimoine culturel québécois est crée en 2007. Financé par les revenus de la taxe sur le tabac, il vise essentiellement à accroître et à stabiliser les subventions destinées au patrimoine. Le 19 septembre 2012, le Secrétariat à la condition féminine est dorénavant rattaché au Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale. Cette même année, la Loi sur le patrimoine culturel entre en vigueur et dénote toute la fierté en matière de protection de l'héritage. Cette loi est le témoin de l'évolution de la notion même de patrimoine sur le plan mondial en couvrant notamment de nouveaux aspects, soit les paysages culturels patrimoniaux et le patrimoine immatériel. Outre le Ministère, le portefeuille du ministre comprend un réseau de treize organismes et sociétés d'État qui appuie l'action du Ministère dans la mise en œuvre de la mission liée à la culture et aux communications. Il s'agit de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), du Conseil du patrimoine culturel du Québec (CPCQ) – connu anciennement sous l’appellation de la Commission des biens culturels du Québec, du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), du Conservatoire de musique et d'art dramatique du Québec - établissement d'enseignement public autonome depuis 2007 -, du Musée d'art contemporain de Montréal, du Musée de la civilisation, du Musée national des beaux-arts du Québec, de la Régie du cinéma, de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), de la Société de la Place des Arts de Montréal, de la Société de télédiffusion du Québec et de la Société du Grand Théâtre de Québec. Enfin le Centre de conservation du Québec est une institution nationale qui relève directement du Ministère. Bien que leur budget soit alloué en partie ou en totalité à même le portefeuille du Ministère, ces organismes et ces sociétés d'État ont un fonctionnement autonome et produisent leur propre rapport annuel de gestion ou d'activité en fonction de leurs engagements respectifs. Le ministre est aussi responsable de l'application de la Charte de la langue française et le Secrétariat à la politique linguistique le soutient dans ces responsabilités. Trois organismes à vocation linguistique découlent de la Charte - et sont également sous la responsabilité du ministre. Il s'agit de la Commission de toponymie, du Conseil supérieur de la langue française et de l'Office québécois de la langue française. (Mise à jour : février 2013)

Custodial history

Scope and content

Alors que Jean-Marie Gauvreau entendait documenter un patrimoine « vivant » pour soutenir sa pérennité, Gérard Morisset formait le projet d'archiver un patrimoine en voie de disparition. Pendant plus de 25 ans, Morisset entreprend sur le terrain d'abord, dans les fonds d'archives par la suite, l'inventaire du patrimoine artistique et architectural dont il assiste à la disparition et à la transformation. Les données contenues [dans cette série] concernent avant tout l'architecture, surtout institutionnelle, et les œuvres d'art anciennes, mais aussi de nombreux artistes et artisans traditionnels. La série contient des photographies et les cahiers de l'inventaire. Pour ce qui est de la classification, chaque sous-sous-série décrit chacun des cahiers tel que constitués par Gérard Morisset. Les dossiers, quant à eux, reprennent la numérotation originale des thèmes regroupés aussi par ce dernier. Le nombre de thèmes varient d'un cahier à l'autre. SOURCE: Site Internet du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (janvier 2008) http://www.mcccf.gouv.qc.ca/index.php?id=1909#oeuvres

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